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Les Élias et les Petrov - pendant sept ans / un film d'Yves Dion ; textes d'Yves Dion ; produit par Adam Symansky ; une production de l'Office national du film du Canada.

Par : Dion, Yves.
Collaborateur(s) : Symansky, Adam | Picard, Luc | Office national du film du Canada.
Éditeur : Montréal : L'Office national du film du Canada, 1994Description :2 vidéodisques (220 min) : son., coul. ; 12 cm.Sujet(s) : Immigrants -- Intégration -- Québec (Province) | Réfugiés -- Services -- Québec (Province) | Immigrants -- Québec (Province) -- Conditions sociales | Immigrants -- Québec (Province) -- Conditions économiques | Immigrants -- Travail -- Québec (Province) | Vidéos pour handicapés auditifs | Documentaires -- CanadaRessources en ligne : Site de l'ONF (Épisode 1) | Site de l'ONF (Épisode 2) | Site de l'ONF (Épisode 3) | Site de l'ONF (Épisode 4) | Vérifier à la Médiathèque de l'UO.
Dépouillement complet :
Épisode 1. Bienvenue-Welcome « 1994 à 1997. Réfugiés respectivement du Guatemala et de la Bosnie, les Élias et les Petrov s'installent à Sherbrooke. Pour les parents comme pour les enfants, une nouvelle vie commence. Une vie marquée par la nostalgie d'un passé révolu et l'incertitude d'un avenir encore inconnu. Avant de chercher du travail, il faut apprendre le français et se familiariser avec la culture du pays d'accueil. Alors que le Québec vit à l'heure du référendum de 1995 et se questionne sur sa propre destinée, ceux qui ont fui leur pays d'origine déchiré par la dictature ou la guerre doivent apprivoiser une réalité qui ravive d'anciennes blessures. Face à toute cette instabilité, les Élias et les Petrov surmonteront-ils leurs craintes ou cèderont-ils à l'appel d'un nouveau départ ? » (Site de l'ONF)
Épisode 2. L'été chaud « 1997 à 1999. Après avoir appris le français et s'être familiarisés avec la réalité politique du pays d'accueil, les Élias et les Petrov réalisent que le test pour eux n'est plus seulement culturel, mais économique. Il faut maintenant trouver du travail. Mais comment s'en sortir quand la société d'accueil ne reconnaît pas les compétences et le savoir des nouveaux arrivants, en plus d'entretenir parfois des préjugés à leur égard ? Certains reprennent des études. D'autres refont les valises pour émigrer dans la province voisine économiquement plus florissante. Pour ceux qui restent et qui ont déjà tout perdu une fois dans leur vie, l'incertitude et l'angoisse demeurent. Heureusement, il y a la famille, mais aussi la pêche ou la religion pour s'évader et entretenir l'espoir d'un avenir meilleur. Mais pour combien de temps encore ? » (Site de l'ONF)
Épisode 3. La nuit des bombardements « 1999 à 2000. Après avoir apprivoisé le pays d'accueil qui refuse toujours de reconnaître leurs compétences professionnelles, les Élias et les Petrov ont néanmoins franchi une nouvelle étape symbolique vers l'intégration. Ils sont maintenant citoyens canadiens. Les études ont porté fruit et ouvrent de nouveaux horizons. Un emploi sur le marché du travail redonne enfin un sens à la vie. Malgré les vacances au Guatemala et en Bosnie, la perte du pays d'origine reste toutefois douloureuse, surtout pour les parents. Et bientôt, l'actualité internationale réveille de vieux démons endormis. Comment vivre la guerre du Kosovo à distance quand le pays d'accueil bombarde la terre des ancêtres ? Comment concilier harmonieusement une double appartenance qui fait partie de la condition de l'immigrant ? Et s'il suffisait de bâtir des ponts entre les cultures et les peuples... » (Site de l'ONF)
Épisode 4. Devoir de mémoire « 2000 à 2001. Pendant 6 ans, les Élias et les Petrov ont tout fait pour comprendre l'âme de leur pays d'accueil et accéder à l'indépendance économique. Ils sont désormais citoyens canadiens. Mais le pays qui les a vu naître demeure inscrit en eux. Il suffit d'un retour aux sources pour que les uns et les autres renouent avec un passé à la fois rassurant et douloureux. Il y a, bien sûr, les retrouvailles avec la famille et les amis, mais il faut aussi se confronter à la réalité d'un pays encore meurtri par les années de guerre ou de dictature. C'est aussi pour les parents l'occasion de transmettre aux enfants la fierté de leurs origines, même si l'écart se creuse entre les deux générations. Revenues au Québec, les deux familles emménagent dans la maison qu'elles viennent d'acheter. Est-ce là le signe d'un enracinement en profondeur ? Seul l'avenir nous le dira vraiment. » (Site de l'ONF)
Générique de production :Caméra, André Luc Dupont, Jacques Leduc ; montage, Fernand Bélanger, Yves Dion ; musique originale, Serge Laforest, Productions AudioZ ; prise de son, Marie-France Delagrave.
Distribution : Narration, Luc Picard.Résumé : Ce documentaire nous introduit dans le parcours de deux familles de réfugiés en quête de nouveaux lendemains. Venus respectivement du Guatemala et de la Bosnie, les Élias et les Petrov s'installent à Sherbrooke. De 1994 à 2001, le cinéaste Yves Dion retrace les différentes étapes de leur intégration à la société québécoise.
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Type de document Site actuel Collection Cote Numéro de copie Statut Notes Date d'échéance Code à barres
Matériel visuel Matériel visuel CR Julien-Couture RC (Teaching)
Audio Visual
Non-fiction VID DIO (Parcourir l'étagère) 1 (DVD 1) Not For Loan DVD 79 A019330
Matériel visuel Matériel visuel CR Julien-Couture RC (Teaching)
Audio Visual
Non-fiction VID DIO (Parcourir l'étagère) 1 (DVD 2) Not For Loan DVD 79 A019331

Épisode 1. Bienvenue-Welcome « 1994 à 1997. Réfugiés respectivement du Guatemala et de la Bosnie, les Élias et les Petrov s'installent à Sherbrooke. Pour les parents comme pour les enfants, une nouvelle vie commence. Une vie marquée par la nostalgie d'un passé révolu et l'incertitude d'un avenir encore inconnu. Avant de chercher du travail, il faut apprendre le français et se familiariser avec la culture du pays d'accueil. Alors que le Québec vit à l'heure du référendum de 1995 et se questionne sur sa propre destinée, ceux qui ont fui leur pays d'origine déchiré par la dictature ou la guerre doivent apprivoiser une réalité qui ravive d'anciennes blessures. Face à toute cette instabilité, les Élias et les Petrov surmonteront-ils leurs craintes ou cèderont-ils à l'appel d'un nouveau départ ? » (Site de l'ONF)

Épisode 2. L'été chaud « 1997 à 1999. Après avoir appris le français et s'être familiarisés avec la réalité politique du pays d'accueil, les Élias et les Petrov réalisent que le test pour eux n'est plus seulement culturel, mais économique. Il faut maintenant trouver du travail. Mais comment s'en sortir quand la société d'accueil ne reconnaît pas les compétences et le savoir des nouveaux arrivants, en plus d'entretenir parfois des préjugés à leur égard ? Certains reprennent des études. D'autres refont les valises pour émigrer dans la province voisine économiquement plus florissante. Pour ceux qui restent et qui ont déjà tout perdu une fois dans leur vie, l'incertitude et l'angoisse demeurent. Heureusement, il y a la famille, mais aussi la pêche ou la religion pour s'évader et entretenir l'espoir d'un avenir meilleur. Mais pour combien de temps encore ? » (Site de l'ONF)

Épisode 3. La nuit des bombardements « 1999 à 2000. Après avoir apprivoisé le pays d'accueil qui refuse toujours de reconnaître leurs compétences professionnelles, les Élias et les Petrov ont néanmoins franchi une nouvelle étape symbolique vers l'intégration. Ils sont maintenant citoyens canadiens. Les études ont porté fruit et ouvrent de nouveaux horizons. Un emploi sur le marché du travail redonne enfin un sens à la vie. Malgré les vacances au Guatemala et en Bosnie, la perte du pays d'origine reste toutefois douloureuse, surtout pour les parents. Et bientôt, l'actualité internationale réveille de vieux démons endormis. Comment vivre la guerre du Kosovo à distance quand le pays d'accueil bombarde la terre des ancêtres ? Comment concilier harmonieusement une double appartenance qui fait partie de la condition de l'immigrant ? Et s'il suffisait de bâtir des ponts entre les cultures et les peuples... » (Site de l'ONF)

Épisode 4. Devoir de mémoire « 2000 à 2001. Pendant 6 ans, les Élias et les Petrov ont tout fait pour comprendre l'âme de leur pays d'accueil et accéder à l'indépendance économique. Ils sont désormais citoyens canadiens. Mais le pays qui les a vu naître demeure inscrit en eux. Il suffit d'un retour aux sources pour que les uns et les autres renouent avec un passé à la fois rassurant et douloureux. Il y a, bien sûr, les retrouvailles avec la famille et les amis, mais il faut aussi se confronter à la réalité d'un pays encore meurtri par les années de guerre ou de dictature. C'est aussi pour les parents l'occasion de transmettre aux enfants la fierté de leurs origines, même si l'écart se creuse entre les deux générations. Revenues au Québec, les deux familles emménagent dans la maison qu'elles viennent d'acheter. Est-ce là le signe d'un enracinement en profondeur ? Seul l'avenir nous le dira vraiment. » (Site de l'ONF)

Caméra, André Luc Dupont, Jacques Leduc ; montage, Fernand Bélanger, Yves Dion ; musique originale, Serge Laforest, Productions AudioZ ; prise de son, Marie-France Delagrave.

Narration, Luc Picard.

Ce documentaire nous introduit dans le parcours de deux familles de réfugiés en quête de nouveaux lendemains. Venus respectivement du Guatemala et de la Bosnie, les Élias et les Petrov s'installent à Sherbrooke. De 1994 à 2001, le cinéaste Yves Dion retrace les différentes étapes de leur intégration à la société québécoise.

Avec sous-titres codés pour les personnes sourdes ou malentendantes.

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