No. 3719 de la collection "Que sais-je ?".

Comprend une bibliographie.

Introduction

Chapitre I. La fin de l'idéologie du développement I. L'idéologie du développement -- II. Le développement discrédité

Chapitre II. Le développement durable, un concept ancien I. Un concept né avec l'explosion démographique et la crise de l'énergie -- II. La remise en question de la société de consommation -- III. Des préoccupations qui ne sont pas entendues

Chapitre III. Le développement durable ou l'apparition d'une conscience I. L'avènement des ONG -- II. le développement durable, produit de la dernière mondialisation

Chapitre IV, Le développement durable, une ambition I. L'apparition officielle du développement durable -- II. Rio : le sacre du développement durable -- III. Un concept englobant

Chapitre V - Qu'est-ce que la durabilité ?
I. La durabilité : une question de ressources -- II. La question essentielle des indicateurs

Chapitre VI - Quand la planète évince l'humanité
I. Un concept décliné tous azimuts -- II. Les principaux axes d'action du développement durable -- III. Le changement climatique, obsession du développement durable

Chapitre VII - Le développement durable, une nécessité
I. Une coopération qui ne se préoccupe pas de lutter contre la pauvreté -- II. Le développement, une réalité inachevée -- III. La nature toute-puissante

Chapitre VIII - Une urgence : refonder la coopération I. Le rôle essentiel des États -- II. La nécessité d'une nouvelle gouvernance mondiale -- III. Pour un pacte social planétaire -- IV. Le choix de la frugalité

Indications bibliographiques

À propos de l'auteur : « Sylvie Brunel est professeur des universités en géographie à Paris-Sorbonne, où elle dirige le master professionnel mondialisation et développement durable. Ancienne présidente d'Action contre la faim, elle est également romancière. » (4e de couverture)

« Le terme développement durable est devenu la référence obligée des politiques publiques et privées, le nouveau mot d’ordre de la coopération internationale. Il s’est imposé face à l’inquiétude des pays riches devant l’émergence de certains Suds et coïncide avec la montée en puissance des ONG. Rendant obsolète le concept de développement, le développement durable est un produit de la dernière mondialisation, le symbole de l’avènement d’une conscience mondiale. Mais cette synthèse théoriquement parfaite entre les préoccupations économiques, sociales et environnementales est-elle une réalité ? ou bien un étendard que chacun s’approprie en fonction de ses intérêts et de ses objectifs, une sanctification de la planète au détriment de l’humanité, et particulièrement des pauvres ? » (4e de couverture)