Le legs d'Eva : roman / Waubgeshig Rice ; traduit par Marie-Jo Gonny
Par : Rice, Waubgeshig [Auteur].
Collaborateur(s) : Gonny, Marie-Jo [Traducteur].
Collection : Indociles. Éditeur : Ottawa, ON : Les Éditions David, 2017Description :306 p. : couv. ill. en coul. ; 23 cm.ISBN : 9782895975939 (br).Sujet(s) : Meurtre -- Romans, nouvelles, etc | Familles de victimes d'homicide -- Romans, nouvelles, etc | Vengeance -- Romans, nouvelles, etc | R�silience (Trait de personnalit�) -- Romans, nouvelles, etc | C1 | Avancé | AdvancedClassification CDD :C813/.6 | 813/.6 Ressources en ligne : Site de l'éditeur. | Vérifier auprès des bibliothèques uOttawa.Type de document | Site actuel | Collection | Cote | Numéro de copie | Statut | Notes | Date d'échéance | Code à barres |
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Livres | CR Julien-Couture RC (Learning) General Stacks | Non-fiction | LEC RIC 3 (Parcourir l'étagère) | 1 | Disponible | Rayon Leclerc 2 | A030066 |
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LEC REN 1 Assurance touristes / | LEC RES Le plus beau métier du monde / | LEC RIC 2 Toute la couleur du monde / | LEC RIC 3 Le legs d'Eva : | LEC RIV 1-2 La ceinture fléchée = | LEC RIV 1-2 La chemise à rubans = | LEC RIV 1-2 La couverture = |
Table des matières -- Eva. Hiver 1989 -- Stanley. Été 1991 -- Maria. Printemps 1993 -- Norman. Automne 1995 -- Edgar. Été 1997 -- Mark. Hiver 1998.
« Elle regarda autour et remarqua qu’ils étaient au fond de la ruelle. Dehors, dans la rue, la lueur des réverbères peignait la neige fraîche d’un orange de cantaloup. C’était à une certaine distance et elle ne se rappelait pas être venue si loin. Elle tourna son regard vers Mark et vit seulement la faible lueur orange sur le côté gauche de son visage. Soudain, elle sentit sa bouche ouverte, mouillée autour de la sienne, tandis que Mark lui écrasait le dos contre le mur. Sa force lui coupa le souffle et elle ne pouvait pas respirer. Elle ne pouvait pas crier, et elle se débattait pour mettre ses bras entre eux quand elle le sentit fourrer sa main entre ses jambes. Son cœur battait à tout rompre et la panique la reprit. Mais c’était une panique beaucoup plus intense et épouvantable. Son instinct la fit lui donner un coup de genou dans les couilles. C’était le coup le plus fort qu’elle ait jamais donné. […] — Fucking indienne! cria-t-il en lui cognant d’un poing puissant la joue gauche. » (4e de couverture)
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