Nauetakuan, un silence pour un bruit : roman / Natasha Kanapé Fontaine
Par : Kanapé Fontaine, Natasha [auteur].
Éditeur : Montréal : XYZ, 2021Description :253 p. : couv. ill. ; 22 cm.ISBN : 9782897723279 (br).Sujet(s) : Femmes des Peuples autochtones -- Romans, nouvelles, etc | Identité (Psychologie) -- Romans, nouvelles, etc | Filiation -- Romans, nouvelles, etc | Traumatisme -- Romans, nouvelles, etc | Quête -- Romans, nouvelles, etc | Résilience (Trait de personnalité) -- Romans, nouvelles, etc | B2 | Intermédiaire fort - Avancé faible | High intermediate - Weak advancedClassification CDD :C843/.6 | 843/.92 | C843/.92 Ressources en ligne : Site de l'éditeur. Résumé : « Nauetakuan : mot innu qui nous annonce qu’un son, au loin, vient à nous. Comment l’entendre, si tout, dehors comme dedans, vibre, bourdonne, crie? Il faut, oui, faire silence. Perdue dans la ville, Monica cherche sa liberté en même temps que ses liens. Ses études en histoire de l’art ne lui inspirent plus rien, le sens la fuit et le vide menace de l’envahir pour de bon, fragilisant l’armure qu’elle se confectionne chaque jour. Pour pouvoir enfin déposer le lourd bagage dont elle a hérité, revenir en paix chez elle, à Pessamit, elle devra d’abord apprivoiser les orages qui grondent en elle. Remonter le fil des routes et des rivières, leur courant tantôt allié, tantôt contraire, d’un bout à l’autre du continent. Retrouver la puissance qui se façonne une perle à la fois. J’aimerais lui dire que j’y arrive tant bien que mal, que je cherche les assises, les repères, les portes. J’aimerais pouvoir toucher la peau du castor une nouvelle fois, sentir la brise se lever tout en recevant l’odeur du feu et de la viande qui grille. Si je ferme les yeux, mon rêve disparaîtra. » (4e de couverture)Type de document | Site actuel | Collection | Cote | Statut | Date d'échéance | Code à barres |
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Livres | CR Julien-Couture RC (Learning) General Stacks | Non-fiction | LEC KAN 2-3 (Parcourir l'étagère) | Disponible | A030124 |
« Nauetakuan : mot innu qui nous annonce qu’un son, au loin, vient à nous.
Comment l’entendre, si tout, dehors comme dedans, vibre, bourdonne, crie?
Il faut, oui, faire silence.
Perdue dans la ville, Monica cherche sa liberté en même temps que ses liens. Ses études en histoire de l’art ne lui inspirent plus rien, le sens la fuit et le vide menace de l’envahir pour de bon, fragilisant l’armure qu’elle se confectionne chaque jour.
Pour pouvoir enfin déposer le lourd bagage dont elle a hérité, revenir en paix chez elle, à Pessamit, elle devra d’abord apprivoiser les orages qui grondent en elle. Remonter le fil des routes et des rivières, leur courant tantôt allié, tantôt contraire, d’un bout à l’autre du continent. Retrouver la puissance qui se façonne une perle à la fois.
J’aimerais lui dire que j’y arrive tant bien que mal, que je cherche les assises, les repères, les portes. J’aimerais pouvoir toucher la peau du castor une nouvelle fois, sentir la brise se lever tout en recevant l’odeur du feu et de la viande qui grille. Si je ferme les yeux, mon rêve disparaîtra. » (4e de couverture)
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