000 11359cam a2201537 i 4500
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020 _a9782760324978 (br)
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040 _aABES
_bfre
_eAFNOR
_cJCRC
245 0 0 _aErving Goffman et le travail social /
_csous la direction de Stéphanie Garneau et Dahlia Namian.
250 _a1e éd.
260 _aOttawa, ON :
_bLes Presses de l'Université d'Ottawa,
_c2017.
300 _a311 p. :
_bill. ;
_c23 cm.
440 _a21e – Société, histoire et cultures.
500 _aÉgalement disponible en format électronique.
504 _aComprends les références bibliographiques et un index.
505 _aPRÉSENTATION GÉNÉRALE
505 _aLes enjeux du travail social contemporain: apports de la sociologie de Erving Goffman /
_rDahlia Namian et Stéphanie Garneau
505 _a1. Les défis du travail social contemporain
505 _a2. Présentation des chapitres
505 _aErving Goffman, passeur contemporain entre le travail social et la sociologie ? Par-delà les différend(ce)s disciplinaires /
_r Stéphanie Garneau et Dahlia Namian
505 _a1. Sur les traces « à demi effacées » de Goffman : la vie comme l’oeuvre
505 _a2. Goffman et la tradition de Chicago
505 _a3. Sociologie et travail social à Chicago : de l’alliance à la désunion
_t3.1. Jane Addams, la Hull-House et la sociologie -- 3.2. Les premiers balbutiements de la discipline du travail social et l’émergence de l’enquête sociale -- 3.3. Sociologie et travail social à Chicago : le temps de la désunion -- 3.4. Robert E. Park et la consécration de la rupture
505 _a4. Travail social progressiste, sociologie acritique ?
505 _aPARTIE 1 GOFFMAN : QUELLE POSTURE ÉPISTÉMOLOGIQUE POUR LE TRAVAIL SOCIAL ?
505 _aCHAPITRE 1
505 _aDe la prudence épistémologique de Goffman à une critique sociale réflexive /
_rStéphanie Garneau
505 _a1. La posture épistémologique de Goffman
_t1.1. Le « couplage flou » des niveaux micro et macro -- 1.2. Goffman, entre réalisme et nominalisme
505 _a2. Les apports de la sociologie goffmanienne à la recherche critique en travail social
_t2.1. Éviter de sombrer dans le moralisme et la normativité -- 2.2. Donner vie aux capacités d’action des subordonnés -- 2.3. Favoriser la découverte de sources et d’effets de pouvoir insoupçonnés
505 _aConclusion
505 _aCHAPITRE 2
505 _aAdministrer les pauvres : quand l’ordre institutionnel relie l’ordre de l’interaction et l’ordre social /
_rVincent Dubois
505 _a1. Au-delà du « couplage flou » de l’ordre de l’interaction et de l’ordre social : le rôle des institutions
505 _a2. Les institutions à l’ère du post-welfare et le maintien de l’ordre social au travers des interactions individuelles
505 _a3. Les deux faces du pouvoir bureaucratique : les rencontres quotidiennes dans les administrations sociales
505 _a4. La dialectique des interactions individuelles et des structures sociales dans le contrôle bureaucratique des assistés sociaux
505 _aConclusion
505 _aCHAPITRE 3
505 _aLa « carrière morale » et la construction des problèmes sanitaires et sociaux /
_r Marc Loriol
505 _a1. La notion de carrière morale : les apports de Goffman
505 _a2. La carrière et la construction sociale de la maladie ou des problèmes sociaux
505 _aConclusion
505 _aPARTIE 2 LES APPORTS CONCEPTUELS DE GOFFMAN POUR PENSER LE TRAVAIL SOCIAL
505 _aCHAPITRE 4
505 _aRéintégrer le travail à la suite d’un trouble de santé mentale : gestion du stigmate et « troubles » dans l’interaction /
_r Laurie Kirouac, Dahlia Namian et Henri Dorvil
505 _a1. Le stigmate chez Goffman : quelques clarifications préalables
505 _a2. Entre dévoilement et dissimulation : la gestion du stigmate
_t2.1. Mettre carte sur table ou trier sur le volet -- 2.2. Du camouflage à la mutation
505 _a3. Entre gêne et suspicion : marcher sur des œufs ou l’art de manier des interactions sous tension
505 _a4. Entre acceptation et ossification : la labilité de la réalité du moi
505 _aConclusion
505 _aCHAPITRE 5
505 _aLe travail de déférence. Une perspective goffmanienne sur l’« humanisation » des services dans le secteur sanitaire et social /
_r Baptiste Brossard
505 _a1. Méthodologie
505 _a2. Critique de la notion d’humanité
505 _a3. La production sociale de la déférence
505 _a4. Au-delà des face à face : typologie des interactions
505 _a5. Les frontières du symbolique
505 _a6. Compétence et spontanéité
505 _aConclusion
505 _aCHAPITRE 6
505 _aLe concept de façade chez Goffman : mise en scène du thérapeutique et présentation de soi dans la relation d’intervention /
_r Audrey-Anne Dumais Michaud et Romain Paumier
505 _a1. Interaction, représentation et définition de la situation
505 _a2. Le parler de soi ou comment dire ce qui pose problème
505 _a3. La conviction de l’acteur
505 _a4. Reconnaître la souffrance de l’autre
505 _a5. La gestion de la scène et des coulisses
505 _a6. Les possibilités d’action de l’acteur
505 _aPARTIE 3 L’ESPRIT MÉTHODOLOGIQUE GOFFMANIEN ET L’ANALYSE DE L’OBJET « INTERVENTION »
505 _aCHAPITRE 7
505 _aAnalyse de la vie quotidienne : l’apport des méthodes microanalytiques à la compréhension de la réalité des aidantes familiales auprès des personnes âgées /
_r Marjorie Silverman
505 _a1. Goffman et le travail social
505 _a2. Concepts fondamentaux : les rites d’interaction et la représentation
505 _a3. Microethnographie d’aidantes familiales auprès de personnes âgées
_t3.1. Conception du projet -- 3.2. Collecte et analyse des données
505 _a4. Création et application de microconnaissances
_t4.1. Création de microconnaissances -- 4.2. Application des microconnaissances
505 _aConclusion
505 _aCHAPITRE 8
505 _aAmbiguïté des cadres de l’expérience dans les interactions en face à face entre personnes en situation de handicap et personnes « valides » : quelles implications pour les chercheurs ? / Francis Loser et Barbara Waldis
505 _a1. Les cadres de l’expérience et le concept d’embarras chez Goffman
505 _a2. Terrain de recherche et démarche entreprise
505 _a3. Nos observations en tant que chercheurs
505 _a4. La réception de nos interprétations par les professionnels
505 _aConclusion
505 _aCHAPITRE 9
505 _aLes cadrages temporels de l’intervention sociale d’urgence. Vers une métaphore musicale /
_rÉdouard Gardella
505 _a1. Une rencontre fluide
505 _a2. La domination dans la fluidité
505 _a3. Troubles dans « le temps »
505 _a4. Cadrages temporels et moralité du travail social
505 _a5. Esquisse de généralisation : vers une métaphore musicale
505 _aPARTIE 4 RENOUVELER LES POLITIQUES ET PRATIQUES D’INTERVENTION SOCIALE : LES ENSEIGNEMENTS DE LA SOCIOLOGIE D’ERVING GOFFMAN
505 _aCHAPITRE 10
505 _aRepenser les pratiques en santé mentale : contributions du concept de carrière à une approche inclusive des personnes utilisatrices des services /
_r Katharine Larose-Hébert
505 _a1. Désinstitutionalisation et organisation des services de santé mentale au Québec
505 _a2. Les « moments » modulateurs de la carrière identitaire des usagers de services de santé mentale
505 _a3. Soi à risque, soi risqué et soi docile : les phases de la carrière identitaire de l’usager
505 _a4. Carrière et moments modulateurs : du paradigme du rétablissement à une pratique de la conscientisation
505 _aConclusion
505 _aCHAPITRE 11
505 _aHandicap intellectuel et vie sexuelle : de l’importance des travaux d’Erving Goffman pour la pratique soignante /
_r Pierre Pariseau-Legault et Dave Holmes
505 _a1. Citoyenneté sexuelle : revendication morale ou faux-semblant ?
505 _a2. Sexualité « normale » et performance
505 _a3. Intimité et arrière-scène
505 _a4. Le partenariat de soin en tant qu’outil de surveillance
505 _a5. Implications pour les pratiques d’intervention
505 _aConclusion
505 _aLes moments de l’intervention sociale et leurs acteurs /
_rMagdalena Baczkowska
505 _a1. Graver la direction
505 _a2. Cartographier le paysage du travail social
505 _a3. Circonscrire le voyage de l’intervention sociale
505 _a4. Faire l’expérience du voyage de l’intervention sociale
505 _a5. Aménager le paysage du travail social
_t5.1. Une résistance au scientisme -- 5.2. Un aveu de moralisme
505 _a6. Honorer les contributions
505 _aÀ propos des auteur(e)s
505 _aIndex
520 _a« L'oeuvre du sociologue Erving Goffman ouvre un monde de possibilités inédites pour le travail social. En faisant de l'interaction un objet d'étude légitime en sciences sociales, Goffman nous rappelle en effet que les acteurs sociaux, tant les usagers que les intervenants, ne se situent pas à l'extérieur des rapports sociaux : ils en sont. Réunissant travailleurs sociaux, sociologues, anthropologues, politistes et infirmiers, cet ouvrage propose d'ouvrir la « boîte à outils goffmanienne » afin d'offrir un éclairage novateur sur les enjeux contemporains du travail social, dans des champs aussi variés que la santé mentale, la toxicomanie, les soins aux personnes âgées ou avec un handicap, et l'aide aux sans-abris.
520 _aEn ces temps de morcèlement et de cloisonnement disciplinaire, il peut être utile de rappeler les liens ambigus, mais néanmoins enchevêtrés, entre le travail social et la tradition sociologique dont est issu Erving Goffman. Que ce soit sous l’angle épistémologique, théorique, méthodologique ou pratique, les dix-sept auteurs de cet ouvrage tentent de rattacher certaines des ficelles qui ont été dénouées entre les deux disciplines au fil des luttes visant leur reconnaissance institutionnelle. » (4e de couverture)
600 _a Goffman, Erving
_d1922-1982.
650 7 _aSociologie du travail
_zFrance.
650 7 _aService social
_xAspect sociologique.
650 7 _aService social
_xRecherche
_zFrance.
650 7 _aSanté publique
_xEnquêtes
_zFrance.
700 1 _aGarneau, Stéphanie
_d1975-
700 1 _aNamian, Dahlia
_d1979-
856 _uhttps://press.uottawa.ca/fr/9782760324978/erving-goffman-et-le-travail-social/
_zSite de l'éditeur.
856 _uhttps://ocul-uo.primo.exlibrisgroup.com/permalink/01OCUL_UO/gege1p/alma991003310179705161
_zVérifier auprès des bibliothèques de l'UO.
942 _2z
_cBK