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Les sociétés et leur école : emprise du diplôme et cohésion sociale / François Dubet, Marie Duru-Bellat, Antoine Vérétout.

Par : Dubet, François [Auteur].
Collaborateur(s) : Duru-Bellat, Marie [Auteur] | Vérétout, Antoine [Auteur].
Éditeur : Paris : Seuil, 2010Description :211 p. : ill. ; 21 cm.ISBN : 9782021020090 (br).Sujet(s) : Sociologie de l'éducation | Intégration sociale | Inégalité sociale | Éducation -- Aspect social | Démocratisation de l'enseignement | Éducation comparée | Systèmes d'enseignementClassification CDD :300 Autre classification : 370 | 370.19 Ressources en ligne : Site de l'éditeur. | Vérifier auprès des bibliothèques uOttawa
Dépouillement complet :
Introduction -- 1. Intégration et cohésion -- 2. Caractériser les sociétés -- 3. Caractériser les systèmes éducatifs -- 4. Les sociétés et leur école -- 5. Emprise de l'école et reproduction sociale -- 6. Emprise scolaire, cohésion et justice sociales -- Conclusion -- Annexe 1 -- Annexe 2 -- Bibliographie
Résumé : « Une vision commune voudrait que l’éducation scolaire contribue à créer des sociétés meilleures. Mais comment l’école aurait-elle la capacité quasi miraculeuse de transformer la société ? Plutôt que de croire ou non à ses vertus, les sociologues François Dubet, Marie Duru-Bellat et Antoine Vérétout ont cherché à comprendre, en comparant les sociétés et les systèmes éducatifs d’une trentaine de pays, par quels mécanismes et sous quelles conditions l’école affecte positivement la société. Ni le déterminisme fataliste de la simple reproduction sociale, ni le volontarisme héroïque d’une école capable de changer le monde ne résistent aux faits. Comment les sociétés utilisent-elles les qualifications scolaires ? Quelle est l’ emprise du diplôme sur l’emploi et sur la position sociale ? C’est de ce choix politique que dépend le rôle de l’école dans la société. Quand un pays considère que le diplôme doit déterminer strictement la position sociale, la lutte pour son obtention pèse lourdement sur le système scolaire, au détriment de sa dimension éducative et culturelle. Trop d’école tue l’école. À l’opposé, quand un pays croit moins à l’école, il développe d’autres systèmes d’accès à l’emploi, le jeu scolaire y est plus détendu, mais la société crée d’autres inégalités. C’est dans le jeu de ces deux mécanismes que se tiennent les différences entre les sociétés et c’est en agissant sur cette charnière que les politiques peuvent corriger les inégalités. » (4e de couverture)
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Type de document Site actuel Collection Cote Statut Date d'échéance Code à barres
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Non-fiction MET DUB (Parcourir l'étagère) Disponible A030924

Comprend des réf. bibliogr. (p. 207-[212]).

Introduction -- 1. Intégration et cohésion -- 2. Caractériser les sociétés -- 3. Caractériser les systèmes éducatifs -- 4. Les sociétés et leur école -- 5. Emprise de l'école et reproduction sociale -- 6. Emprise scolaire, cohésion et justice sociales -- Conclusion -- Annexe 1 -- Annexe 2 -- Bibliographie

« Une vision commune voudrait que l’éducation scolaire contribue à créer des sociétés meilleures. Mais comment l’école aurait-elle la capacité quasi miraculeuse de transformer la société ? Plutôt que de croire ou non à ses vertus, les sociologues François Dubet, Marie Duru-Bellat et Antoine Vérétout ont cherché à comprendre, en comparant les sociétés et les systèmes éducatifs d’une trentaine de pays, par quels mécanismes et sous quelles conditions l’école affecte positivement la société. Ni le déterminisme fataliste de la simple reproduction sociale, ni le volontarisme héroïque d’une école capable de changer le monde ne résistent aux faits.
Comment les sociétés utilisent-elles les qualifications scolaires ? Quelle est l’ emprise du diplôme sur l’emploi et sur la position sociale ? C’est de ce choix politique que dépend le rôle de l’école dans la société. Quand un pays considère que le diplôme doit déterminer strictement la position sociale, la lutte pour son obtention pèse lourdement sur le système scolaire, au détriment de sa dimension éducative et culturelle. Trop d’école tue l’école. À l’opposé, quand un pays croit moins à l’école, il développe d’autres systèmes d’accès à l’emploi, le jeu scolaire y est plus détendu, mais la société crée d’autres inégalités. C’est dans le jeu de ces deux mécanismes que se tiennent les différences entre les sociétés et c’est en agissant sur cette charnière que les politiques peuvent corriger les inégalités. » (4e de couverture)

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